Carnet de voyage
-
Jour 3 Il est des endroits que les mots peinent à traduire et où les photos, malgré leur beauté, semblent encore trop limitées. Aujourd’hui, nous avons découvert Sete Cidades, à l’ouest de São Miguel, et j’ai eu l’impression de toucher du regard un fragment d’éternité. Les routes étroites s’enroulaient autour des montagnes, bordées d’hortensias aux
-
Jour 2 Sans nous presser, nous avons pris la route, laissant le hasard nous guider à travers l’île. Après quelques virages, nous avons découvert un petit village côtier, dont le nom s’est effacé de ma mémoire mais pas la beauté. L’océan s’étendait à perte de vue, ses vagues puissantes venant s’écraser contre les rochers noirs.
-
Jour 1 L’arrivée à São Miguel s’est faite en douceur. Le vol depuis Lisbonne n’a duré que quelques heures, et à notre arrivée, la voiture nous attendait, prête à nous faire découvrir cette île merveilleuse. Vingt minutes de route plus tard, nous atteignons notre hôtel, posé sur la côte nord. Le vent souffle fort, mais
-
Jour 4 Ce matin-là, nous avons pris une décision de dernière minute, et ce fut sans doute l’une des meilleures du voyage : partir en excursion vers Sintra et le fameux Palais de Pena. Le départ était fixé à 8h, et nous nous sommes retrouvés dans un petit groupe guidé par une femme formidable –
-
Jour 3 Le départ s’est fait tôt, à 8h, sous un ciel encore doux. Première étape : Óbidos, une charmante cité médiévale accrochée à flanc de colline. Son château domine fièrement le village, entouré de remparts qui semblent veiller sur le temps. À l’intérieur, les ruelles pavées serpentent entre des maisons blanches aux volets colorés, souvent bordées
-
Jour 2 Le réveil s’est fait doucement, encore bercées par le décalage horaire. Après une douche revigorante, un peu de maquillage et un café avalé à la hâte, nous étions prêtes à partir à la découverte du château de São Jorge. Sur le chemin, nous nous sommes arrêtées dans une petite pâtisserie aux allures familiales.
-
Jour 1 Après un vol qui s’est déroulé sans encombre, nous avons eu la chance d’occuper les sièges près des sorties de secours. L’espace pour les jambes était généreux et le fait de n’avoir personne devant nous rendait le trajet plus agréable. Certes, il n’y avait pas de plateau solide pour s’appuyer et nos sacs
mes pensées, mon miroir. 